NOUS N’ÉVOLUONS PAS - DIVERS CAS -

NOUS N’AVONS PAS À CHANGER CE QUI EST BIEN.
Nous devons nous maintenir dans le droit chemin.
Nous devons nous en tenir à notre bonne et ferme résolution, la garder.

"IL EST BON DE LAISSER PISSER LE MOUTON"
. . et d’empêcher le chien à le forcer à rejoindre le troupeau.
. . Conseil à prendre à tous les degrés,
. . . . proposé, il y a bien des siècles, par la sagesse francophone.

"IL PEUT ÊTRE BON D’ATTENDRE POUR VOIR.",
. . adage découvert, il y a quelques siècles déjà, par la sagesse anglo-normandophone.

IL PEUT MÊME "NE PAS Y AVOIR PÉRIL EN LA DEMEURE",
. . à savoir "péril à ce que les choses demeurent en l’état",
. . une expression très ancienne du monde francophone.

PUIS, "SI NOUS SAVONS CE QUE NOUS QUITTONS,
. . NOUS IGNORONS CE QUI NOUS ATTEND."
. . Et, de toute façon, ce qui nous attend : la nostalgie.

AINSI, ÉVENTUELLEMENT -

L’ESPRIT DE ROUTINE -
Nous avons tendance à « ronronner ».

LA FRILOSITÉ -
Nous sommes engourdis
« Nous attendons le dégel. »
« Nous restons les deux pieds dans le même sabot. »

LE PASSÉISME -
« Nous reprenons les mêmes, et nous recommençons. »
Nous usons de « clichés », stéréotypes, poncifs.
Nous trouvons que doivent rester intactes
. . la biocénose actuelle, les sociétés primitives toujours là.

LE TRADITIONALISME, LE CONSERVATISME -
Nous stagnons. Nous nous figeons dans une certaine attitude.
Nous nous rouillons. Nous végétons.
Nous nous encroûtons. Nous marinons.
Nous sommes des ringards.

LE MISONÉISME, LA NÉOPHOBIE, où nous sommes tombés.
Nous faisons preuve de méfiance, voire d’horreur,
. . face à toute nouveauté.
Nous restons englués dans nos lourdeurs.

LA TORPEUR -
Nous nous sommes enferrés.
Nous avons atteint la sclérose, l’ankylose, le marasme.
Nous avons laissé se momifier, moisir, pourrir, croupir la situation.
Nous sommes paralysés.

CONCLUSION -
Nous devons tout de même aller de l’avant,
. . parce que tout sans cesse évolue,
. . et qu’ainsi, donc, « qui n’avance pas, recule ».
Rationnellement, raisonnablement, résolument,
. . transformons-nous donc, réformons-nous donc.